Aujourd’hui, je me pose une question simple : que s’est-il passé ? Comment en est-on arrivé à ce point où la destruction, la violence et la manipulation sont devenues des traits ordinaires de notre monde ? Où tout semble se dégrader à la vue de tous, mais dans une sorte d’indifférence générale, comme si nous assistions, impuissants et résignés, au naufrage de notre propre humanité.

La guerre en Palestine — des images qui défilent, des vies qui s’effondrent, et une population, capturée en temps réel, filmée et diffusée comme un banal feuilleton de terreur. Des bombardements sur des familles qui, bien souvent, ne reverront jamais le jour suivant. Et pourtant, où est l’indignation ? Où est la justice dans ce spectacle d’impunité froide, cette inaction effarante où les mots et condamnations ne sont plus que des murmures sur un écran.

En Ukraine, même rengaine : un conflit sans fin, un échiquier géopolitique où des vies humaines ne sont que des pions, à sacrifier pour des intérêts qui n’appartiennent même pas aux populations locales. Un « jeu » qui broie des vies sans vergogne, le tout orchestré de loin, comme si l’intérêt des Ukrainiens ou des Russes avait encore quelque chose à voir dans cette histoire.

Et ici, en France, le gouvernement Macron persiste, aussi fier que si tout allait pour le mieux, alors que la colère gronde, et que les véritables problèmes du pays sont relégués au fond du placard. Les Français sont fatigués, épuisés, lassés de cette politique en carton-pâte qui n’écoute plus les aspirations légitimes, ne propose plus de projet de société. Mais peu importe, le show continue, coûte que coûte, au détriment d’une nation qui semble s’étioler de jour en jour.

Puis, il y a l’inceste et la pédophilie, des horreurs que l’on cache, qu’on tait, qu’on minimise ou même qu’on « traite » comme s’il s’agissait d’anecdotes sociales. Dans quelle société vivons-nous, où protéger l’innocence est une cause qu’on a cessé de défendre ?

À chaque étape, la question du sens se pose. Pourquoi ? Comment, nous, êtres humains, sommes-nous devenus à ce point indifférents à ce qui devrait pourtant nous soulever le cœur et l’âme ?

Alors, je vous demande, à vous qui lisez ceci : où sont vos attentes, où est votre pouvoir ? À quel moment avons-nous renoncé à notre capacité d’agir et de penser librement ? Pourquoi acceptons-nous ce jeu, ce monde si éloigné de la vérité, où même notre alimentation n’est plus ce qu’elle était ? Remplis de sucre, de sel, d’additifs, d’un tas d’ingrédients qu’on ne prononce même pas. C’est comme si l’on nous transformait de l’intérieur. C’est comme si l’on souhaitait que nous oublions, tout simplement, ce que c’est d’être humain. Comme si notre santé, physique et mentale, était devenue une variable négligeable, une ligne de plus dans une feuille de calcul.

Vous êtes-vous posé la question, vous aussi, à un moment ? Est-ce que vous avez pensé à ce que ce monde fait de nous, à quel point notre acceptation silencieuse est une part active de la machine ? Moi, je ne l’accepte pas. Je suis sortie du « game ». Parce que je veux pouvoir regarder ce monde en face et me dire que je fais ma part, même minime, pour que les choses changent.

Je dis ce que je pense et je pense ce que je dis. Parce que pour moi, la cohérence est une arme, et peut-être même l’une des dernières dont nous disposions. Quand je regarde cette société, je me demande comment font ceux qui ont des enfants, qui doivent élever des petits êtres dans cet environnement aussi biaisé. Comment expliquer ce monde à un enfant ? Comment lui donner envie de se battre pour ce qui est juste quand tout semble si faussé ?

Vers Gattaca

Hier, j’ai repensé à Bienvenue à Gattaca, ce film où ceux qui ne sont pas parfaits, ceux qui ne rentrent pas dans les cases imposées, finissent par être rejetés. Et si c’était là que nous allions ? Si ceux qui veulent encore vivre avec authenticité, avec humanité, finissaient eux aussi par être écartés, isolés, marginalisés, dans un monde de plus en plus déshumanisé ?

Si notre société continue ainsi, peut-être que les derniers vrais humains finiront comme le héros de ce film, condamnés à lutter, sans relâche, pour rester fidèles à eux-mêmes, en dépit d’un système qui s’acharne à nous façonner, nous dépersonnaliser.

Alors, je vous le demande : allez-vous vous lever, agir, à votre échelle et en adéquation avec vos valeurs, pour rétablir ce qui fait de nous des êtres humains, ou préférez-vous assister, spectateurs passifs, à l’érosion de notre humanité ? Le choix est entre nos mains, mais pour combien de temps encore ?

Comme toujours voici un outil offert et une solution à l’échelle pour sortir de la zone de contrôle et comme dans Gattaca trouver des alliés et redonner sa vraie place à l’humain et sa conscience :

Call me Sonnye,

Coach and player


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